Vœux de l’Ania : « Faire pour nous, sans nous. C’est faire contre nous »
Lors des vœux de l’Ania, prononcés le 21 janvier à Paris, Jean-Philippe Girard a cité Nelson Mandela pour illustrer son propos : « Faire pour nous, sans nous. C’est quelque part faire contre nous ». Plus d’écoute, plus de soutien, plus de flexibilité, moins de contraintes fiscales et réglementaires, moins de pression sur nos prix, sur nos marques, sur nos activités : telles sont les revendications du président de l’Ania. Il a rappelé que le secteur agroalimentaire doit faire face à une concurrence qui n’est pas seulement chinoise ou brésilienne mais intra-européenne. D’où des vœux axés sur les liens avec la grande distribution, la croissance, la simplification, et la revendication d’un Etat facilitateur.
L’Association Nationale des Industries Alimentaires (ANIA) rassemble 20 fédérations nationales sectorielles et 23 associations régionales des industries alimentaires. Elle représente plus de 11 800 entreprises alimentaires de toutes tailles et de tous secteurs.