Le variateur de fréquence polyvalent Sinamics G110 en démonstration au Cfia. Il est destiné au fonctionnement à vitesse variable de moteurs triphasés, à partir d’un réseau monophasé.

Pour la rentabilité et l'efficacité de la production, les industries agroalimentaires sont placées à la même enseigne que les autres secteurs industriels. Les économies d'énergie doivent faire -ou font déjà- partie des préoccupations quotidiennes. La question est : où les mettre en œuvre? Derrière quelle mesure se trouve le meilleur potentiel? Pour y répondre, des spécialiste de l'automation comme Siemens lA & DT, Schneider Electric et Leroy-Somer proposent un accompagnement.

Siemens lA & DT, leader de l'automatisation des sites de production, structure sa démarche en trois étapes : évaluer le potentiel énergétique, procéder à une analyse énergétique en ventilant les données de consommation par nature et planifier et contrôler parfaitement les charges énergétiques (délestage-relestage)

La démarche de Schneider Electric s'articule en quatre étapes : la mesure et l'identification des gisements d'économie; l'installation d'appareillages et de systèmes à basse consommation; l'organisation du suivi dans la durée grâce à des outils de supervision des automatismes, jusqu'au conseil-formation-suivi; l'analyse des gains en permanence via la maintenance, le contrôle et la supervision. De plus, Schneider a développé l'offre GreenVerter : adaptée aux applications variation de vitesse (jusqu'à 2 MW) pour la compression, la ventilation et le pompage.

Leroy-Somer a lancé, il y a un an, le label « expert en optimisation énergétique des systèmes d'entraînement »; le service du partenaire labellisé va jusqu'au suivi et à la maintenance des systèmes d'entraînements installés grâce à des prestations de maintenance prédictive.

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Retrouvez l'intégralité de notre article "Comment améliorer le rendement. Les moteurs, cible des économies d'énergie" dans notre numéro d’octobre 2010.