Les conférences du CFIA à ne pas manquer

Mardi 10 mars 2015

Les conférences du CFIA Rennes 2015 se tiendront dans une salle dédiée située Hall 2-3 (en haut du hall 2)

10h/11h

« Quel(s) cahier(s) des charge(s) pour innover sur la texture des aliments : de la perception des consommateurs à la formulation et la production des aliments »

Table-ronde animée par Roland Conanec, ingénieur projets, CBB Capbiotek, Délégué thématique Ingrédients du pôle Valorial

>>Pour répondre aux consommateurs à la recherche de sensations nouvelles ou d’authenticité, les industriels développent des aliments aux textures améliorées et communiquent sur l’onctuosité, la tendreté, le craquant ou encore la consistance de leurs produits. Mais cet axe d’innovation constitue un sujet complexe à plusieurs dimensions : perception du consommateur, caractérisations rhéologiques, étude du comportement en bouche des aliments par des simulateurs de mastication….

Avec la participation de spécialistes impliqués dans une étude (Focus Valorial) sur la texture : Nicolas Decourcelle, UBO – LUBEM et coordinateur du focus Valorial, Annick Tamaro, UBO – ICI, Catherine Garnier, INRA BIA Nantes, Pierre Durosset, ADRIA Développement. Ils donneront leur point de vue sur la panoplie d’outils de mesure et de descripteurs associés à la texture. Ils évoqueront également quelques pistes pour innover dans ce domaine.

11h15/12h30

« Comment contribuer à l’amélioration de la performance tout en gérant le compte pénibilité ? »

Table ronde organisée par le cluster Breizh Conseil Agro

Avec la participation de :Patrick Jourdain (PJD),Jean Guernic,Christophe Simon (Premanis),Vincent Loubiere (Progress Conseil),Philippe Rouault (Stratégies Alimentaires) et Yves Fantou, p-dg de Yves FANTOU, découpe de viande, David Dreux dirigeant de MEKANISK , concepteur fabricant du Desergo désossage vertical, Christophe Chaput dirigeant de CAFORM conception / ergonomie co-initiateur du désossage vertical

12h45/13h45

« Les protéines végétales : sources d’innovation de demain »

Conférence présentée par Noémie Simon, GEPV (Groupe d’Etude et de Promotion des Protéines Végétales).

Noémie Simon, GEPV (Groupe d’Etude et de Promotion des Protéines Végétales).

Le marché des protéines végétales a-t-il le vent en poupe ?

Oui, il est en plein essor. Cette croissance repose sur la recherche croissante de produits durables, la volonté de consommer des produits de meilleure qualité nutritionnelle et la montée en puissance du végétarisme et du flexitarisme. Un autre élément, est le prix des matières protéiques végétales, qui est globalement inférieur à celui des protéines animales, en fonction des fluctuations des marchés.

Vous allez présenter les résultats du baromètre 2014 sur la perception des matières protéiques végétales…

Oui, le nouveau baromètre va permettre une comparaison par rapport au premier réalisé en 2011. Dans l’esprit des consommateurs, le végétal bénéficie d’une aura, globalement positive pour le développement des protéines végétales. Les efforts doivent toutefois se poursuivre pour que les protéines végétales soient mieux connues.

14h/15h

« Le guide de l’innovation alimentaire »,

Conférence présentée par Laura Marley, chef de projet Innovation à l’ANIA, et Ariane Voyatzakis, responsable du secteur Agroalimentaire de Bpifrance.

Laura Marley, chef de projet Innovation, Ania

Laura Marley, chef de projet Innovation, Ania

Pourquoi ce guide de l’innovation alimentaire ?

L’innovation est un levier essentiel de la compétitivité et de la responsabilité des entreprises. Elle leur permet de se différencier avec des produits et services à plus forte valeur ajoutée, de conquérir de nouveaux marchés, de répondre toujours mieux aux attentes et aspirations des consommateurs et des citoyens. Les entreprises alimentaires innovent régulièrement. Plus de 3000 innovations « produits » sont mises sur le marché français dans le secteur alimentaire chaque année. Néanmoins, force est de constater que le secteur alimentaire est sous-représenté dans les dispositifs de financement public à la Recherche et Développement (R&D) et à l’innovation. Ce guide de a vocation à promouvoir une définition partagée de l’innovation dans le secteur, reflet de ses spécificités et de sa diversité.

Quel est son objectif concret ?

Il doit inciter les entreprises à lancer des projets d’innovation et fournit des conseils pour le financement de ces projets. Il doit aussi permettre aux acteurs du financement de mieux appréhender les particularités de l’innovation dans le domaine alimentaire.

15h15/16h45 et 16h45/18h (retours d'expérience)

Efficacité énergétique : tour d’horizon des évolutions réglementaires et des opportunités, conférence organisée par Bretagne Développement Innovation (BDI),Valorial et ses partenaires. Le coordinateur est Frédéric Bazantay, directeur Pôle Cristal

Avec la participation d’Olivier Barrault (CertiNergy), de Graciela Alvarez (Irstea), de l’Ademe et des témoignages d’industriels.

Frédéric Bazantay, directeur Pôle Cristal

Quelle est la principale évolution du cadre réglementaire en matière énergétique ?

Nous sommes en train de passer de l’incitation à la contrainte, avec le caractère obligatoire de l’audit énergétique fin décembre 2015 pour les entreprises hors PME au sens communautaire.

Cela s’ajoute à une actualité riche en matière énergétique, que vous allez présenter ?

Oui, nous interviendrons sur la fin des tarifs régulés de vente de l’électricité, avec l’intention de décrire la structure tarifaire pour remplacer les tarifs verts et jaune. Nous décrirons aussi la nouvelle réglementation européenne sur les fluides frigorigènes et son impact sur les choix d’investissements en agroalimentaires.

Quelles sont les opportunités dans ce domaine ?

Nous parlerons de la certification ISO 50 001 et des bénéfices suscités pour les entreprises qui s’engagent. Concernant les certificats d’économies d’énergie (CEE), nous montrerons comment améliorer le temps de retour des investissements performants sur le plan énergétique. Enfin, nous présenterons divers dispositifs d’incitation (Ademe, BPI…)

Avec des retours d’expérience ?

Oui, par exemple Mme Alvarez du laboratoire Irstea d’Anthony interviendra sur le projet Frisbee, qui vise à générer des outils logiciels à disposition pour concevoir une chaîne du froid efficace.


Mercredi 11 mars 2015

9h15/10h15

« Lutter efficacement contre les TMS : des entreprises témoignent »

Conférence présentée par Jean-Marie Rousselet, ingénieur-conseil, Carsat Bretagne

Avec le témoignage d’Eric Balcon, ingénieur prévention, groupe SILL :

Jean-Marie Rousselet, ingénieur-conseil, Carsat Bretagne

Jean-Marie Rousselet, ingénieur-conseil, Carsat Bretagne

Pourquoi est-il essentiel de prévenir les troubles musculo-squelettiques (TMS) ?

La prévention des TMS devient un enjeu stratégique pour les industries agroalimentaires. 1 milliard d’euros, c’est ce que coûte chaque année, les TMS aux entreprises françaises, en coûts directs (arrêts de travail, rentes en cas d’incapacité…). A ces coûts, s’ajoutent les coûts indirects liés à l’absentéisme (salaires des remplaçants, désorganisation et perte de productivité…) évalués environ à 3 milliards d’euros.

Et pour les salariés ?

Le coût humain est également très lourd car les TMS dégradent rapidement la qualité de vie des salariés qui en sont victimes (douleurs chroniques, handicaps, exclusions du marché du travail…).

10h30/11h30

« Actualités des référentiels et focus sur les évolutions du BRC version 7 »

Conférence présentée par Cédric Travaillé, consultant-auditeur IFS / BRC / ISO 22000, Adria Développement.

Cédric Travaillé, consultant-auditeur IFS / BRC / ISO 22000, Adria Développement.

Quelles sont les actualités en liens avec les standards qualité / sécurité des aliments ?

L’année 2014 à vu l’évolution de certains standards associés à la chaîne alimentaire : sortie de l’ISO 22004 : 2014 qui donne des recommandations pour l'application de l'ISO 22000, démarrage des travaux pour la révision de l’ISO 22000, travaux sur l’ISO 9001 :2015, etc. Quant à l’année 2015, elle commence avec la sortie du Global Standard Food Safety c’est-à-dire la norme du BRC dans sa version 7.

Les dernières évolutions du BRCv7 sont-elles importantes ?

Côté protocole de certification, la version 7 souhaite marquer l’excellence des sites proches du zéro défaut et susciter la recherche de l’amélioration en créant un grade « excellent » pour ceux qui n’auront pas plus de 5 non conformités mineures. Le BRC propose aussi désormais d’intégrer des modules complémentaires spécifiques : soit pour approfondir une thématique soit pour compléter les exigences du BRC avec les exigences de clients, comme ASDA.

Et du point de vue de sa structuration ?

Le standard à peu changé. Il faut noter tout de même l’émergence de deux clauses fondamentales supplémentaires :

- La gestion des fournisseurs de matières premières et d’emballages (3.5.1)

- L’étiquetage et le contrôle des colis (6.2)

Comment aidez-vous les entreprises à mettre en œuvre ces changements ?

Nous proposons un stage INTER le 19 mars 2015 à Rennes qui sera un moment pour apporter notre vision sur ces changements et un temps d’échange sur les solutions à mettre en place pour y répondre. A noter la plate-forme comparative de l’ACTIA, qui sera mise à jour avec les dernières versions des référentiels dans les prochaines semaines.

11h45/12h45

« Le marché des produits sans gluten : phénomène de mode ou tendance de fond ? »

Conférence présentée par Sophie de Reynal, Club PAI.

Sophie de Reynal, Club PAI.

Quelles sont les motivations des consommateurs de produits sans gluten ?

Les patients atteints de la maladie coeliaque (intolérance pathologique au gluten) ne représentent que 8 à 12% du marché des produits sans gluten. Ce qui signifie que 90 % du marché des produits sans gluten est réalisé par des consommateurs qui ne sont pas intolérants ! Parmi eux, des « suiveurs de mode », influencés par les « people » (le régime sans gluten ferait maigrir), ou par les sportifs (le régime sans gluten améliorerait les performance sportives). Mais le gros de la troupe est sans doute constitué de consommateurs qui ressente un vrai bénéfice santé (confort digestif notamment) en consommant moins de gluten. Ceux là, ne vont pas forcément suivre une alimentation 100% sans gluten, mais choisiront l’option sans gluten, dès qu’elle se présentera, pour autant que le prix et les qualités gustatives soient au rendez-vous.

L'offre répond-elle à la demande ?

L’offre explose actuellement, avec à la fois des acteurs historiques qui développent de nouveaux produits, des géants de l’alimentaire qui décline leur gamme sans gluten et des plus petits qui y trouvent une opportunité de développement. L’offre ingrédient n’est pas en reste, avec, comme d’habitude, une grande réactivité des PAIstes qui proposent de nouvelles solutions pour aider leurs clients à innover sur le sans gluten.

13h/13h45

Conférence VIF – REGILAIT : « Simulez l’évolution de votre entreprise à 18 mois et gagnez en rentabilité grâce à un processus de pilotage agile (PIC / S&OP). L'animateur sera Yohann Gallard, chef de produit supply chain chez VIF, aux côtés d'Audrey Bret.

Quels challenges doivent relever les directions d’entreprises agroalimentaires ?

Se positionner sur des appels d’offres, évaluer l’impact de lancements de produits, prendre de nouveaux marchés, investir dans de nouveaux outils de production, piloter la pénurie et les ruptures clients, trouver des débouchés aux excédents, …, les comités de direction d’entreprises agroalimentaires font régulièrement face à des décisions stratégiques, qui méritent d’être anticipées 6 à 18 mois à l’avance.

Qu’apporte un processus de pilotage agile (PIC / S&OP) et son informatisation ?

Le S&OP (plan industriel et commercial) est un processus décisionnel collaboratif, qui permet de fédérer les différentes directions de l’entreprise (ventes, production, supply chain, finance …) autour d’un plan moyen terme unique cohérent avec les objectifs du business plan.

Qu’allez vous présenter ?

Je vais exposer les apports de ce processus et du logiciel VIF S&OP à travers un exemple concret en termes de visibilité et simulation globale, de suivi financier, de sécurisation de décisions industrielles (anticipation d’investissements majeurs en lignes de production, stratégie de lissage de la charge des lignes, visibilité sur les besoins en matières stratégiques ...) ou commerciales (simuler l'impact global de nouvelles opportunités commerciales …).


14h/15h

« Le Design Packaging, un investissement pour développer les ventes et un catalyseur de valeur ajoutée pour les produits alimentaires ».

Panorama et décryptage de réussites avec les témoignages d’industriels.

Conférence présentée par Jean-Christophe Boulard, délégué général de l’Institut National du Design Packaging.

Jean-Christophe Boulard, délégué général de l’Institut National du Design Packaging.

Que peut apporter le design packaging ?

Dans un contexte économique national et européen où l’innovation est unanimement reconnue comme seul axe de progrès, le design packaging, promue par l’Institut National du Design Packaging constitue la réponse principale aux nouveaux défis de créativité et de différenciation pour les nouveaux produits alimentaire en France. Le design packaging est de plus en plus maîtrisé par les entreprises de l’agroalimentaire, il est devenu une compétence essentielle au service de la stratégie, du marketing, et avec l’eco design de l’éthique et du développement durable des produits alimentaires emballés…

Pourriez vous donner quelques exemples ?

Le design packaging avant réservé aux grandes marques, est maintenant maîtrisé par les MDD et ainsi les petites et moyennes entreprises qui travaillent pour la grande distribution. L’analyse des cas présentés au CFIA sur les marchés alimentaires permettra de faire ressortir des demandes fortes et actuelles des clients consommateurs : la sobriété, la durabilité, le nomadisme, le prêt à consommer, la montée en gamme… Ces tendances sont des outils utiliser par tous les acteurs de la filière, PME comme grands groupes, pour s’imposer et créer de la valeur en accroissant la différenciation.

15h15/16h30

Bisphénol A : état des lieux et retour d’expérience sur le basculement début 2015 vers des contenus Bisphénol A-NI

Conférence présentée par Vincent Truelle directeur de la FIAC (Fédération française des Industries d’Aliments Conservés) et Patrice Dole, directeur du laboratoire emballage du CTCPA (Centre Technique de la Conservation des Produits Agricoles)

>> Usage du BPA dans les vernis et les stratégies entreprises pour sa substitution ; >> Validation et optimisation des performances techniques des vernis, et requalification des DLUO des produits conservés par les fabricants de boîtes métalliques et les conserveurs

>> Bilan réglementaire/économique de la substitution.

16h45/18h

« La maîtrise de la sécurité des aliments : les outils à votre disposition »

Conférence présentée par Laurent Château, responsable du marché agroalimentaire, à Bureau Veritas Certification.

>> FSSC 22000 emballage, BRC/IoP et IFS PACsecure sont des certifications sur mesure pour les métiers de l’emballage alimentaire. Reconnues par les grands groupes du secteur agroalimentaire, elles vont devenir indispensables.


Jeudi 12 mars 2015

9h15/10h15

« Comment améliorer la productivité et l’efficience de vos process de fabrication »

Conférence présentée par Jordi Portella, fondateur Krontime.

>> Retour d’expérience et solution intégrée pour l’amélioration continue et la performance industrielle (industrialisation, méthodes, documentation, indicateurs d’efficience et suivi des plans d’action).

10h30/11h30

« Le Design Produit »

Conférence présentée par Benoît Millet, directeur du Centre de design et d’innovation, nouvelles pratiques alimentaires, École de design Nantes Atlantique.

11h35/12h45

«Entreprise libérée – Management participatif»

Le retour d’expérience et les témoignages des salariés de la biscuiterie Panier, Groupe Poult.

Xavier Brault, animateur du site Biscuits Panier (groupe Poult), à Briec (29).

Xavier Brault, animateur du site Biscuits Panier (groupe Poult), à Briec (29)

En quoi consiste une entreprise libérée ?

« Chez Biscuits Panier, nous fonctionnons en termes de management sur le modèle de gouvernance partagée. Toujours en pleine évolution, nous mettons actuellement en œuvre une nouvelle organisation responsabilisante, pour que les collaborateurs soient toujours plus autonomes tout en valorisant le collectif.

Comment cette gouvernance partagée est-elle organisée ?

Elle est pilotée par le groupe « Stergann » (qui signifie « ciel étoilé » en breton). Ce groupe de quatorze salariés prendra la parole pour parler de leur expérience. Ces collaborateurs travaillent depuis novembre 2013 à rendre l’organisation actuelle plus performante. L’idée est d’avoir d’approfondi les compétences pour chaque opérateur dans un domaine précis, pour que chacun soit capable de prendre encore plus d’initiatives. Cela passe par une formation plus en profondeur sur un thème comme la qualité et la sécurité. Ces personnes auront alors la tâche de mettre à jour les connaissances de leurs équipes sur ces sujets. A terme, cette nouvelle organisation va augmenter la coopération entre les membres de l’équipe, qui sera dotée d’un référent qualité, d’un référent maintenance…

13h30/14h30

« Les objets connectés au service des industries agroalimentaires »

Conférence présentée par Guillaume Briend, chef de projet AgrETIC, Meito

>> L’équipement (GUELT)

- L’apport des lunettes connectés pour aider l’opérateur à connaitre la consommation énergétique de l’équipement (ENERGIENCY)

- L’apport des tablettes connectées pour la formation du personnel (E’ learning Touch)

- La réalité augmentée vis-à-vis de l’ergonomie des postes, implantation des usines, vitrine commercial du futur (REALYZ)

Guillaume Briend, chef de projet AgrETIC, Meito

Guillaume Briend, chef de projet AgrETIC, Meito

Les objets connectés sont ils adaptés à l’agroalimentaire ?

Oui, notre volonté est de nous intéresser à des outils vraiment terrain qui pourront se diffuser dans les usines dans un futur proche. Les objets connectés apportent des informations directement aux opérateurs de manière à ce qu’ils aient les mains libres au lieu d’aller sur un PC avec un écran de contrôle. Cette information obtenu en direct au plus près de la ligne de production suscite des gains d’efficacité et de flexibilité.

Par exemple ?

C’est l’exemple d’Energiency, une première mondiale issue du programme Agretic. Ces lunettes 3D permettent de visualiser l’efficacité énergétique. C’est aussi l’exemple de Realyz , qui avait réalisé le Qube, exposé l’année dernière, et qui a développé de nouveaux produits tels qu’une vitrine commerciale, dans laquelle on peut placer un produit alimentaire tout en projetant un film en réalité augmentée. C’est aussi E’ learning Touch, qui a conçu une application mobile sur tablette qui permet des formations directement sur ligne, sans être dans une salle. Ou encore l’équipementier Guelt, qui exposera sa vision en trois points :

- statut sur la connexion pour la majorité des équipements actuellement utilisés

- l’état aujourd’hui sur leur nouvelle génération d’équipement

- l’évolution des équipements pour demain.

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