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Leko : « Il faut mieux collecter là où le déchet n’est pas trié aujourd’hui »

Léko, éco-organisme créé en 2020 et concurrent de Citéo, affiche désormais au compteur un total de 40 000 adhérents. L’occasion de revenir sur les raisons de son succès et sur les problématiques relatives au réemploi, avec Patrick Bariol, son directeur général. 
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  • Auteur : Marion DESPOUYS
Léko-Patrice Bariol-DG
Patrice Bariol, directeur général de Léko. Crédit Photo : Léko.
853 entreprises avaient rejoint Léko en 2021, elles sont 40 000 aujourd’hui. Comment expliquez-vous ce succès  ?

La loi Agec promulguée en 2020 a imposé aux « marketplace » ou places de marché de se mettre en conformité et de rappeler la loi aux vendeurs tiers qui utilisent leur plateforme. 

Cette loi impose aux vendeurs tiers d’adhérer à un éco-organisme. S’ils ne le font pas, les places de marché devront en assumer la responsabilité. A partir de là, 30 000 entreprises ont adhéré à Léko, et environ 10 000 sont allées chez Citéo. La base de nos clients est très variée. Nous comptons notamment Léa Nature, les imprimantes Lexmark, ou l’acteur de e-commerce Zalando.

Pourquoi le choix s’est-il porté en majorité sur Léko plutôt que Citéo ?

Les producteurs ont besoin d’aide pour se mettre en conformité pour respecter les règles, d’affichage sur les emballages, sur les consignes de tri. En tant que jeune éco organisme, nous proposons

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