Inflation

Alors que débutent les négociations commerciales entre industriels et distributeurs, l’Ania (Association nationale des industries alimentaires) publie son baromètre 2024 et alerte sur la situation précaire des 20 000 entreprises du secteur.

Olivier Rondouin, expert en sécurité des aliments, décrypte l’arrêté ministériel du 16 avril 2024 qui entrera en vigueur le 1 er juillet prochain.

Le gouvernement a notifié à la Commission européenne un projet d’arrêté pour obliger les distributeurs à informer les consommateurs en cas de shrinkflation, via une mention ou un étiquetage sur le produit concerné.

Après avoir réuni industriels et distributeurs, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a annoncé le jeudi 31 août des négociations commerciales anticipées pour « casser la spirale de l’inflation » . Un texte législatif devrait permettre leur ouverture dès septembre.

Convoqués par les ministres de l’Economie et de l’Industrie, les représentants des produits de grande consommation ont convenu de rouvrir les négociations commerciales en vue de faire baisser l’inflation. Les 75 plus grandes entreprises sont concernées, dont les ETI.

Les représentants de l’Ania et de l’Ilec sont convoqués ce mercredi 17 mai par le ministre de l’Economie et des Finances.

Les ministres Olivia Grégoire et Roland Lescure ont signé le 8 décembre avec la Feef, l’Adepale et les représentants de la grande distribution, une charte de bonnes pratiques pour les négociations commerciales. Ce pacte inédit vise à accepter dans la hausse des tarifs présentés la part…

Le projet de loi pour le pouvoir d’achat sera débattu au cours du mois de juillet à l’Assemblée nationale. En attendant, les passe-d’armes et échanges parfois musclés se succèdent entre l’amont agricole, l’Ania, la distribution et le Gouvernement. Retour sur une semaine mouvementée.

Lors d’une conférence organisée sur le CFIA le 10 mars 2022, l’économiste Philippe Chalmin a fait le point sur les évolutions des cours des matières premières. La guerre en Ukraine ne fait que prolonger une flambée des prix déjà aiguillée par la pandémie.

Tributaires des hausses combinées du coût des fruits, du sucre, de l’acier, du verre et de l’énergie, les fabricants de sirops craignent pour leur survie. Et appellent la grande distribution à faire œuvre de solidarité en concédant la répercussion d’une partie de ces surcoûts sur les prix de vente.

En janvier, l’augmentation des prix à la consommation (alimentation et boissons sans alcool) a été de 1,1 % en glissement annuel. C’est le résultat le plus faible des principaux marchés européens. Sur la même période, la production des industries alimentaires a reculé de 2,1 % en France, une…