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Depuis 2020, en lien avec leur démarche RSE "Laiterie Familiale Engagée", les laiteries H.Triballat collaborent avec la LPO (Ligue pour la protection des oiseaux) Centre-Val de Loire pour que le site historique à Rians (18) réponde à l’enjeu de préservation des espèces.

Lors du Congrès de la bio à Rennes, Biocoop, Ecotone, Léa Nature et Triballat-Noyal ont mis en avant leurs actions en faveur de la biodiversité. En arrière-plan, leur plaidoyer a incarné l’opposition de la filière bio à un affichage environnemental qui ne prendrait en compte que les émissions…

L'entreprise Triballat-Noyal a décidé de supprimer les couvercles en plastique de ses yaourts et spécialités au soja en pots de 250 g et 400 g dédiés aux réseaux bio. De quoi économiser 60 tonnes de plastique à l’année.

Quelques mois après ses yaourts bio Vrai, Triballat Noyal arrive avec un nouveau pot et un look plus moderne sur ses spécialités Sojasun. Et prévoit d'ôter la cartonette de regroupement sur ses quadrettes début 2016.

Triballat Noyal se lance dans la fabrication d’ingrédients au travers d’une nouvelle activité : Triballat Ingrédients. La société s'est basée sur le savoir-faire de son laboratoire de R&D, Nutrinov, pour présenter une gamme issue de procédés clean label.

Triballat Noyal a mis sur le marché au printemps dernier son pot carré curviligne en polystyrène, développé avec Erca. Plus « cuillerable », il se passe aussi de suremballage. Précisions.

Le flexitarisme, ou semi-végétarisme, offre de nouveaux débouchés aux protéines végétales. Exemples d'ingrédients pour le snacking suivant cette nouvelle tendance alimentaire.

Lundi 7 janvier 2013, Nicole Bricq, ministre du Commerce extérieur, et Guillaume Garot, ministre délégué chargé de l’Agroalimentaire, se sont déplacés en Bretagne pour saluer la mobilisation des entreprises et partenaires de l’export. Leur visite sur le site Sojasun de Triballat Noyal à…

L'usine Sojasun de Chateaubourg (Ille-et-Vilaine), du groupe Triballat, vient d'inaugurer une éolienne capable de couvrir 10% des besoins du site en électricité. D'ici trois ans, l'industriel souhaite produire lui-même 20 à 25% de son électricité.