Ergonomie

Le site LDC Terravenir de Saint-Laurent, à Sablé-sur-Sarthe (72), s’équipe d’une technologie développée par TMS Studio pour renforcer la prévention des troubles musculosquelettiques (TMS) et améliorer les conditions de travail de ses salariés.

Le site Kermené de Saint-Léry (56) a été récompensé par le prix "Inn Situ, concevoir pour prévenir". Cette distinction met en avant les efforts réalisés pour améliorer la sécurité et les conditions de travail à travers l'aménagement de combles techniques, dans le cadre de l’extension de l’usine.

Dans son usine de Chacé (49), Marie Surgelés a fait le choix d’Apia Technologie pour le transfert et le dosage du sucre dédié à la production de sauces. Une installation simple, efficace et utilisable par tous.

L’entreprise d’abattage a été récompensée pour la réalisation de son nouvel atelier, qui a intégré la prévention des risques professionnels dès la conception du bâtiment.

Spécialiste de la prestation de services dans la découpe et la transformation des viandes, le groupe EVS teste depuis le mois de mai 2021 la solution Kimea de Moovency sur tous ses chantiers. Ce logiciel basé sur la réalité augmentée évalue et corrige les risques ergonomiques au travail.

Impliqués dans la démarche d’amélioration continue des conditions de travail, les collaborateurs du groupe Azura testent dans l’entrepôt de Perpignan (66) un exosquelette non motorisé pour réduire les douleurs à la manutention.

Pour soulager les opérateurs sur les tâches pénibles, le domaine viticole Château Lagrange à Saint Julien (33) teste plusieurs dispositifs d’assistance aux mouvements.

Récemment récompensée par un Trophée de l’Agroalimentaire Normande 2020 dans la catégorie « Ingénierie 3D des flux », la société Oreka Ingénierie teste différents scénarii d’organisation de la production grâce à un jumeau numérique en 3D et en réalité virtuelle.

Entre 2016 et 2017, SVA Jean Rozé a mené un projet de plusieurs millions d'euros pour moderniser le hall d'abattage de bovins de son usine de Trémorel (22). Témoignage de l'ergonome de la filière bœuf, Myriam Bardaine, qui a intégré la démarche dès le début.

Depuis le 1er janvier 2015, quatre facteurs de pénibilité sont entrés en vigueur. Le dispositif continue de faire débat au sein des organisations et chez les partenaires sociaux qui demandent une simplification.

Equipements, environnement de travail et affectation du personnel. L’industrie agroalimentaire est déjà en ordre de marche pour une réduction de la pénibilité de ses ateliers de fabrication.

Associer l’hygiène et l’ergonomie dans la conception d’une machine, d’une ligne ou d’un atelier, c’est la démarche que proposent le CTCPA et l’ARACT à six entreprises des Pays de la Loire.