Tiac

Dans un rapport paru en fin d’année, l’Efsa et l’ECDC font le point sur les zoonoses en 2023. L’année est marquée par l’augmentation notable des campylobactérioses, salmonelloses et toxi-infections liées à la présence d’Escherichia coli productrice de shigatoxines.

Les cas suspects ou confirmés de norovirus et Yersinia devront bientôt être déclarés aux autorités sanitaires par les laboratoires au Royaume-Uni. Sous réserve de l'approbation parlementaire, la législation mise à jour entrera en vigueur en avril 2025.

L’Ifip a étudié la fréquence de C. perfringens sur les carcasses et dans les fèces de porcs à l’abattoir. 33 % des échantillons de fèces et 18 % des carcasses étaient contaminés, mais toutes les souches présentaient un toxinotype A, sans production de la toxine généralement responsable des…

Depuis le début de l’année, le nombre de rappels produits ne cesse de décroître. Est-ce la conséquence du mode de production dégradé mis en œuvre ces derniers mois ? Éléments de réponse.

D’après le dernier bulletin de Santé Publique France, l’hépatite E est à présent reconnue comme une infection autochtone fréquente avec une transmission alimentaire. Le nombre de cas a augmenté en France entre 2012 et 2016.

Saisie en 2009 par la DGAL sur le sujet, l'Anses publie ses recommandations pour rendre la communication sur les risques microbiologiques auprès des consommateurs plus efficace.

Le Centre européen pour le contrôle et la prévention des maladies (ECDC) a dévoilé son rapport annuel sur les maladies d’origine alimentaire, hydrique et les zoonoses. Campylobacter, Salmonelle et les virus sont dans le trio de tête.

Les chercheurs du Nizo Food Research ont mis en évidence deux origines génétiques différentes codant pour les entérotoxines produites par Clostridium perfringens. Une avancée supplémentaire dans la gestion du risque.

Un rapport publié par l'Autorité européenne de sécurité des aliments (Efsa) et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC) montre des résistances importantes de Salmonella et Campylobacter à certains traitements antibiotiques. Toutefois, les résistances à plusieurs…

Selon le rapport de l'Efsa portant sur l'année 2011, les toxi-infections alimentaires collectives sont en hausse de 7,1%. Les salmonelles restent la principale source de contamination, toutefois les cas provoqués par les E. coli vérotoxiques sont en forte progression, conséquence de l’épisode des…

L’Efsa a étudié de 2007 à 2011 les risques liés aux denrées d’origine non animale. Si le nombre de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) est en augmentation, leur gravité reste cependant moindre que celle associée aux aliments d’origine animale.

Face à la montée du nombre de Tiacs dues à Bacillus cereus, une caractérisation des souches impliquées a été réalisée de 2006 à 2010 (anses et Dgal). Les scientifiques ont notamment mis en évidence l’émergence de souches du groupe VII particulièrement virulentes.

Malgré une baisse constante depuis de nombreuses années, Salmonella reste la première cause d’épidémie d’origine alimentaire en Europe suivie des virus et de Campylobacter.

La société du groupe Mérieux Nutrisciences vient d'ouvrir une nouvelle entité dédiée à la virologie alimentaire sur son site de Cergy-Pontoise (95). Un laboratoire, mais également un pôle de formation et d'accompagnement global pour guider les industriels.

Alors que l’aliment incriminé dans la crise sanitaire allemande est toujours recherché, l’E. coli O104:H4 à l’origine de 23 morts est de mieux en mieux identifiée. Le laboratoire national de référence de Lyon a reçu les protocoles de détection PCR et le profil génétique de la bactérie.

L'Efsa et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies viennent de publier leur rapport 2009 sur les toxi-infections alimentaires collectives en Europe. Principaux résultats : une baisse confirmée des salmonelloses mais une augmentation des listérioses.

Le nombre de Tiac impliquant des variants monophasiques de Salmonella enterica sérotype Typhimurium augmente. Dernière alerte en date, des saucisses sèches suspectées de contamination.

Salmonella reste à la première place des toxi-infections alimentaires collectives en Europe, devant les virus alimentaires et Campylobacter (…)