Négociations commerciales

Le géant de la volaille affiche une performance solide sur l'exercice 2024-2025. Pour assurer la pérennité de la filière, le groupe LDC demande d’ici l’été des revalorisations tarifaires et annonce 350 millions d’euros d’investissements pour 2025.

Les deux organisations professionnelles ont une fois de plus tiré la sonnette d’alarme sur la situation « fragilisée » des PME et ETI.

Au lendemain du premier comité de suivi des négociations commerciales, l’association qui représente les PME et ETI a exprimé à nouveau ses préoccupations quant aux pratiques des enseignes de grande distribution.

Alors que s’ouvre la période des négociations commerciales, Pact’Alim (ex-Adepale) appelle au respect des lois Egalim et à l’intégration des coûts de transition environnementale pour garantir une chaîne alimentaire durable et équitable.

Léonard Prunier, Feef : « Il est temps de rendre les PME et ETI responsables de leur prix de vente »
Alors que la consultation publique lancée par la mission parlementaire en charge de l’élaboration de la quatrième version d’Egalim 4 touche à sa fin ce mardi 14 mai, Léonard Prunier, président de la Feef (Fédération des entreprises et entrepreneurs de France), revient sur les principaux enjeux pour…

Parmi les sujets abordés ce matin en conférence de presse par le premier ministre Gabriel Attal, le renforcement du dispositif Egalim aussi bien à l’échelle nationale qu’européenne. Le ministre de l’Economie Bruno Le Maire a dressé le bilan des contrôles réalisés.

L’Association des entreprises de produits alimentaires élaborés (Adepale) pointe du doigt des demandes de baisses de prix déraisonnables et déconnectées des variations de coûts supportées par les entreprises.

Exceptionnellement, le calendrier des négociations commerciales sera avancé en 2024 avec deux dates butoirs. La loi a été publiée au Journal Officiel le 18 novembre.

Les députés ont adopté le 10 octobre le projet de loi pour l’anticipation de l’ouverture des négociations commerciales.

Après avoir réuni industriels et distributeurs, le ministre de l’Economie, Bruno Le Maire, a annoncé le jeudi 31 août des négociations commerciales anticipées pour « casser la spirale de l’inflation » . Un texte législatif devrait permettre leur ouverture dès septembre.

Convoqués par les ministres de l’Economie et de l’Industrie, les représentants des produits de grande consommation ont convenu de rouvrir les négociations commerciales en vue de faire baisser l’inflation. Les 75 plus grandes entreprises sont concernées, dont les ETI.

Les représentants de l’Ania et de l’Ilec sont convoqués ce mercredi 17 mai par le ministre de l’Economie et des Finances.

Le Parlement a adopté ce mercredi 15 mars la proposition de Descrozaille « visant à renforcer l’équilibre dans les relations commerciales entre fournisseurs et distributeurs ». Les Parlementaires ont retenu la quasi‑intégralité des modifications apportées par le Sénat, à l’exception de l’article 3.

Selon un récent sondage mené par l’Ania, 1 entreprise sur 2 n’a pas conclu ses contrats avec l’ensemble de ses distributeurs. Cela, à la veille de la fin de la période de négociations commerciales.

Le Sénat a adopté le mercredi 15 février 2023, en première lecture, la proposition de loi visant à sécuriser l’approvisionnement des Français en produits de grande consommation. Parmi les modifications effectuées, les sénateurs ont tenu à rééquilibrer le rapport de force entre fournisseurs et…

L'Assemblée nationale a adopté à l'unanimité en première lecture la proposition de loi, portée par le député Frédéric Descrozaille. Objet de vifs débats, l’article 3 introduit une expérimentation inédite de deux ans.

La proposition de loi Descrozaille est examinée à l’Assemblée. Son article 3, qui vise à encadrer les différentes situations en cas de non-accord au 1er mars, oppose vivement maillon industriel et grande distribution.

Le projet de loi pour le pouvoir d’achat sera débattu au cours du mois de juillet à l’Assemblée nationale. En attendant, les passe-d’armes et échanges parfois musclés se succèdent entre l’amont agricole, l’Ania, la distribution et le Gouvernement. Retour sur une semaine mouvementée.

La dureté des négociations commerciales, le contexte inédit d’hyperinflation et le conflit en Ukraine replacent la souveraineté alimentaire au cœur des échanges. Après l’Ania et la Coopération agricole, l’Adepale et l’ABEA demandent des mesures d’urgence.

A une semaine de la fin des négociations commerciales, le gouvernement a convoqué un quatrième comité de suivi exceptionnel en raison d’une situation jugée « inhabituelle et extrêmement tendue ». Le 23 février 2022, le taux de signature de contrats était de 20 points inférieur à celui de l’an…

Les représentants du monde agricole et agroalimentaire ont fait part au gouvernement d’un retour de la spirale déflationniste. Pour calmer le jeu et revenir à l’esprit des Etats Généraux de l’Alimentation, une mission de concertation a été confiée à Serge Papin, l’ex-patron de Système U. Tandis que…

Une conjoncture qui se dégrade, des marges au plus bas et toujours une pression sur les prix, l’Ania dresse un bilan critique de l’année 2018. L’association porte-parole de l’industrie agroalimentaire dénonce les négociations commerciales qui se sont déroulées à rebours de l’esprit des États…

On les croyait préservées de la guerre des prix menée entre enseignes, pourtant les filières bio subissent cette pression de plein fouet. C’est le constat que fait le Synabio. Détails.

Le comité de suivi des négociations commerciales s'est réuni vendredi 19 janvier. Les représentants des agriculteurs et des transformateurs dressent un constat accablant. Le simili-consensus des Etats Généraux de l'Alimentation aurait-il déjà volé en éclats ?

Loi Sapin 2, rapport Macron, charte FCD,... Malgré l'arsenal de mesures prises pour améliorer les relations commerciales, les négociations se montrent plus que jamais tendues. État des lieux.

Négociations commerciales, contrôles officiels, bisphénol A, acrylamide, huiles minérales, éco-organismes, gaz fluorés,... Le point sur les évolutions clefs qui vont impacter l'activité du secteur agroalimentaire en 2017.

Les chiffres clefs pour comprendre le retournement du marché, grâce à l'analyse de l'économiste Gérard Calbrix.

Respect de la loi, et même des règles élémentaires de courtoisie, les principales enseignes de grande distribution, hors Leclerc et Intermarché, se donnent un cadre, qui était loin d'être une évidence. Cela influera-t-il sur les négociations commerciales qui vont durer jusqu'au 28 février 2017 ?

Richard Panquiault, d-g de l'Ilec, dénonce des négociations commerciales 2016 entachées d'innombrables irrégularités. Il en appelle au gouvernement pour améliorer la capacité de contrôle de la DGCCRF et appliquer des sanctions réellement dissuasives.

Les industries agroalimentaires ont subi un recul de leur taux de marge de l'ordre de 8,7 points en moyenne entre 2009 et 2015. Selon l'Ania, la guerre des prix que se livrent les enseignes de la distribution explique à elle seule 40 % de la contribution négative à ce taux de marge. Explications.

Plusieurs organisations représentant les industriels de l'agroalimentaire dénoncent des négociations commerciales orientées vers la baisse des prix, malgré les effets d'annonce.

80 % de la croissance du chiffre d'affaires alimentaire de la grande distribution provient des PME selon Nielsen. Un argument force à l'approche des négociations commerciales. Auquel s'ajoutent d'autres signaux positifs pour les petites et moyennes entreprises.

D’après l’Ania, " les mauvaises pratiques et les abus se poursuivent, se multiplient et atteignent des niveaux jamais vus et inacceptables pour tous les fournisseurs, quel que soit leur taille, leur métier ou leur région de France".