Inrae

Lancée en 2023, une expertise scientifique collective pilotée par Inrae et le CNRS livre ses premiers enseignements sur les effets des microplastiques et nanoplastiques (MNP). Si leur présence dans l'environnement est massive et bien documentée, leurs conséquences pour la santé humaine restent mal…

Les principaux établissements européens de recherche sur l'agriculture et l'alimentation lancent une nouvelle alliance scientifique : l’ESAAF (European Science Alliance for Agriculture and Food). Cette coalition a pour objectif d’accompagner la transformation et de renforcer la résilience du…

Coordonné par Inrae, un consortium de recherche a identifié une molécule, NM102, capable de bloquer une protéine clé présente chez toutes les bactéries. Ce mode d’action innovant réduit leur virulence et leur capacité à développer des résistances, sans affecter le microbiote ni tuer directement les…

Des chercheurs d’Inrae ont comparé les analyses de cycle de vie (ACV) de produits carnés à celles de l’élevage d’insectes, de la fermentation solide, de l’extraction de protéines végétales, ainsi que de la production de mycoprotéines et de protéines microbiennes.

Les cinq partenaires du consortium NutriTious vont utiliser des coproduits de meunerie de Limagrain Ingrédients pour les fermenter. Cela permettra de produire des ingrédients capables de moduler le microbiote humain.

Dans le cadre du Grand Défi Ferments du Futur porté par l’Association nationale des industries alimentaires (Ania) et l'Institut national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae), une douzaine de projets ont été proposés par des organismes de recherche. Détails.

Une étude parue le 19 décembre 2024 examine l’impact des politiques alimentaires, comme la fiscalité ou l’étiquetage nutritionnel, sur les choix des consommateurs. Elle évalue leur efficacité à orienter vers des comportements alimentaires plus sains.

Les projets de recherche menées par Geneviève Gésan-Guiziou, directrice de recherche à l’Inrae et Hélène Tormo, enseignante-chercheuse en agroalimentaire à l’école d’ingénieurs de Purpan (31), offrent des pistes aux artisans et petites entreprises de produits laitiers pour valoriser le lactosérum.

Situé à Saclay, ce lieu dédié à la fermentation accueille un consortium de 42 partenaires publics et privés. Douze projets précompétitifs ont déjà été lancés.

Une équipe de recherche Inrae a développé des anticorps pour identifier spécifiquement ces bactéries L. monocytogenes en état de dormance. Ce qui ouvre la voie à des tests de détection dédiés.

Une équipe internationale de recherche a identifié pour la première fois un potentiel de danger toxique lié au dioxyde de silice (E551), jusqu’alors réputé sécuritaire en alimentation.

Sélectionné par France 2030, le programme de recherche « Systèmes alimentaires, microbiomes et santé » piloté par Inrae et l’Inserm va financer des projets visant à identifier les déterminants de changements alimentaires ainsi qu'à comprendre les symbioses entre hôte et microbiome.

Lancé début 2024 pour 42 mois de travaux, le projet SalmoBond planche sur des outils de caractérisation moléculaire et phénotypique qui permettront de mieux connaître l’adaptation des salmonelles dans les ateliers de transformation de porc et de lait.

Dans le cadre du projet ProPhySICe Lab, les partenaires veulent sélectionner des probiotiques et des extraits végétaux capables de moduler l’axe intestin-cerveau en jouant sur le microbiote. Les solutions serviront notamment à soigner les malades d’Alzheimer.

Dans certaines matrices solides, Escherichia coli O157:H7 peut développer une tolérance aux conditions acides. De quoi rebattre les cartes des stratégies de gestion du risque sanitaire.

Une récente étude menée par Inrae a mis en évidence le fait que la spore n’est pas la forme unique de survie à long terme chez les bactéries Bacillus thuringiensis utilisées comme bio-insecticide. Des résultats qui pourraient conduire à une évolution des stratégies de lutte contre les espèces…

Des chercheurs d’Inrae, en collaboration avec le LNE, ont démontré que les nanoparticules qui composent l’additif E171 peuvent passer directement par les muqueuses de la bouche. Une exposition à prendre en compte dans l’évaluation des risques.

La semaine dernière, le gouvernement a annoncé son plan d’action sur les nitrites dans l’alimentation. Il se dirige vers une baisse de ces additifs dans les viandes transformées. Une position qui satisfait les industriels de la profession, mais qui déçoit foodwatch, Yuka et la Ligue contre le…

En amont du salon de l’agriculture qui a eu lieu du 25 février au 5 mars, l’Inrae a ouvert les portes de son UMR (Unité Mixte de Recherche) situé à Rennes (35). L’occasion de mettre à l’honneur les nombreuses équipes scientifiques qui travaillent sur le thème de l’alimentation saine et durable.

Ils participent avec AgriObtention, l’Inrae et Université Lumière Lyon 2 au projet AlinOVeg « Innover en alimentation d’origine végétale ». Ce projet collaboratif est doté d’un budget de 11,4 M€ sur cinq ans.

Des travaux récents d’Inrae, en collaboration avec l’Inserm, l’Université Toulouse III – Paul Sabatier et l’École nationale vétérinaire de Toulouse montrent que certaines mycotoxines, fréquemment retrouvées dans les aliments, augmentent l’action génotoxique d’autres toxines.

Des scientifiques d’Inrae, en collaboration avec l’Université Clermont Auvergne, ont réalisé des travaux pionniers pour évaluer l’impact des microplastiques sur le microbiote intestinal.

Mi-septembre, l’Inrae, l’Inserm, AgroParisTech et l’AP-HP ont lancé le projet Le French Gut, visant à caractériser le microbiote intestinal de 100 000 Français d’ici cinq ans. Dix entreprises sont également impliquées. Elles pourront bénéficier des résultats pour développer des probiotiques,…

Une étude publiée dans la revue Les Cahiers de nutrition et de diététique interroge sur les systèmes de classification des aliments ultra-transformés. Elle pointe en particulier les faiblesses du système Nova.

Des chercheurs de l’unité Eren (Inserm/Inrae/Cnam/Université de Paris 13) ont publié une nouvelle étude de grande ampleur sur les édulcorants. La consommation de certains d’entre eux semble corrélée à un risque accru de cancer.

Avec la signature de cet accord-cadre, les pôles de compétitivité Agri Sud-Ouest Innovation et Valorial, et l'institut de recherche Inrae entendent stimuler l’innovation des filières agri et agro. La clef : le rapprochement entre la recherche publique et privée et une articulation efficace entre…

Pour valoriser les marcs de pommes à cidre, les chercheurs de l’Inrae Nantes testent des solvants naturels eutectiques. Les résultats sont prometteurs et permettraient de réduire la perte de coproduits d’intérêt.


Une étude menée par des chercheurs européens sur le lavage des mains lors de la préparation à la maison d’un repas à base de poulet cru révèle un manque de connaissances des risques liés à la manipulation de viande crue. C’est le cas en particulier des consommateurs français.

L’Efsa a annoncé le 6 mai que le dioxyde de titane (E171) ne pouvait plus être considéré comme un additif alimentaire sûr pour la santé. Cette évaluation confirme enfin les travaux de l’Anses qui alertait sur les dangers du colorant dès 2017.

Après neuf ans de recherches, l’Inrae a réussi à acclimater la très rare truffe blanche du Piémont en France. Focus sur cette première mondiale.

Selon une étude menée auprès de la cohorte Nutrinet-Santé, entre mars et mai, les Français ont modifié de façon très différenciée leur consommation de produits alimentaires. Plus du tiers d'entre eux ont gagné du poids, quand près d'un quart en ont, au contraire, perdu.

Un consortium de chercheurs issus notamment de l'Inrae, l'Inserm, AP-HP et Sorbonne Université sont en voie de découvrir une solution contre l’intolérance au gluten. Leur étude démontre l'intérêt de consommer du tryptophane ou certains probiotiques pour lutter contre la dysbiose qui affecte les…

En plus des produits en sortie de champ, la version 3.0 de la base de données développée par l’Ademe et l’Inrae évalue à présent l’empreinte environnementale de 2500 produits finis, qu’ils soient bruts, transformés ou importés.

Le projet européen ProOrg touche à sa fin en 2020. Il a pour objectif d’établir un guide de bonnes pratiques conçu pour aider les transformateurs de la filière bio à choisir des technologies adaptées aux contraintes du secteur et aux attentes des consommateurs.

Dans le cadre du projet Chaman, Valrhona, l’Inra, l’Irstea et le Cirad ont élaboré des modèles de prédiction du goût du chocolat en fonction de la composition du cacao.

Irstea a fait appel à Dalkia Froid Solutions pour réaliser un simulateur mesurant l'efficacité des échangeurs de chaleur dans la production de froid.

La filiale du groupe Le Duff s’est associée à l’Inra pour développer l’Amibiote, un pain riche en fibres capables de moduler le microbiote, de diminuer le taux de cholestérol et d’agir sur l’insulino-résistance.

A compter du 1er janvier 2020, le nouvel Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement (Inrae) regroupera les expertises de l’Inra et d’Irstea.

Le pastier Alpina Savoie s’associe à l’Institut de La Tour du Valat afin d’identifier de nouvelles pratiques agricoles, favorisant la restauration de la biodiversité. La société finance l’étude et met à disposition le savoir-faire de ses agriculteurs partenaires.

Le groupe Soufflet et l’Inra ont lancé un nouveau programme de recherche autour des protéines végétales. Le but est d’améliorer les propriétés agronomiques et industrielles des lentilles et des féveroles.

La meilleure connaissance du microbiote incite à approfondir les recherches sur les prébiotiques. Selon une étude française, certains extraits végétaux seraient plus efficaces que les fibres.

Une étude de l’Inra a montré que le bisphénol S est plus difficile à éliminer que le bisphénol A. Plusieurs types d’emballages alimentaires ont été pris à parti dans les médias. Pourtant, cette alternative n’est pas utilisée dans leur fabrication.